Égoïsme sain: la guérison. De cette maladie intime faite d’exigences et de peurs. Qui me fait tout le temps retomber en terres de déprime. Rien de simple. Plaisir et culpabilité intimement liés. Un oser dire non aux retombées catastrophiques de tensions corporelles. S’accepter soi dans le désir qui surgit, soudainement possible sans effort, et la volonté s’en mêle et épuise toutes les forces vives. La petite dépression cyclique, les euphories qui gagnent et perdent. C’est qui que je refuse, l’autre ou ce que j’imagine de l’autre, quand je crée un film comme j’en ai envie, mais que ça devient une obsession, une contrainte, un devoir ? C’est de l’art thérapie ou de la thérapie artistique ? Voici mon nouveau court métrage documentaire autobiographique 2024, témoignage sous forme de journal intime.
Artiste polymorphe suisse